« J’écris ce texte depuis plus de quatre heures, je l’improvise pour vous, pour moi.
Le jour se lève, et je pense en souriant à notre solitude,
cette solitude si belle qui se confond avec la vie elle-même,
la vie occidentale, si pleine d’intensités et de chagrin,
notre vie de livres et de films, de verres de vin en terrasse,
de gaieté, de désespoir et d’amour, notre vie tout à la fois précaire et absolue.
J’écris cette phrase :
la liberté fait mal, mais elle est le seul bonheur. ● ».
YANNICK HAENEL · FRANÇOIS BOUCQ